Miaougraphie de Clément

Réflexion sur les tranches de Miaougraphie à venir
Je n’arrive pas à dormir ces temps-ci, ça doit être parce que j’ai la tête pleine d’histoire de Clément. Je pensais m’asseoir en cette nuit d’insomnie et commencer à rédiger certaines de ces anecdotes, mais je ne pouvais choisir par laquelle commencer, elles se bousculent toutes dans ma tête en ce moment. Je vais donc les laisser macérer pour le moment et je vous sers à la place une mise en bouche de ce qui est à surveiller pour l’été. Je ne prendrai pas de pause du blog pour la saison, le deuil n’en prend pas, bien qu’il ne soit pas impossible pour une semaine ou deux que je m’absente, du moins, si je n’ai pas le temps de préparer au préalable quelques articles programmés ou encore, si je sens le besoin d’un repos obligatoire. Il y aura peut-être parfois quelques jours de suite où je serai peu active sur WordPress et où les publications seront plus espacées surtout durant les week-ends d’excursion et de visites…. mais pour l’instant, je sens surtout le besoin de continuer et de remplir bien des pages d’images et de mots sur mon félin adoré.

En effet, j’ai remarqué qu’il y avait peu de tranches de Miaougraphie sur mon blog dernièrement, mais je n’avais pas fait le bilan. Quatre pour juin seulement, si j’ai bien compté. C’est chiche. Pourtant, ce n’est pas les sujets qui manquent, bien que j’admets avoir traversé une petite période à vide côté Miaougraphie, comme les idées d’anecdotes à raconter et de sujets à aborder sur la vie féline semblaient s’amenuiser. Puis, j’attendais l’été pour certaines histoires. Sans oublier que j’ai publié plus que je projetais autour de ma participation au défi du mois anglais, ce qui a laissé moins d’espace et de temps pour ces tranches de Miaougraphie. Alors que juin a été teinté de défi et de deuil, j’espère que juillet sera marqué par des empreintes de chat fantomatiques.

D’ailleurs, j’ai déjà deux idées de publications pour ma mini-série Les saisons de Clément une en anecdote et une rétrospective en images. Je me rends compte que j’ai tellement de sujets liés avec les étés de bébé chat que je ne pourrai sûrement pas tous les aborder dans un seul texte, donc, il y aura possiblement un ou deux épisodes de plus sur les étés de Clément. Il y a également une anecdote que ça fait longtemps que je veux écrire, mais que je n’avais pas encore pris le temps de mettre en mots (indice : ça implique un des « compagnons » de jeu favori des félins). J’ai aussi envie de vous parler d’un autre chat de mon passé, une histoire triste qui m’a profondément marqué. J’ai au moins deux Miaougraphies dessinées dans mes cartons, dont une que je compte publier sous peu. Je compte continuer de dessiner durant l’été, surtout que j’ai trouvé un nouveau médium de prédilection parfait pour la saison estivale. Je veux profiter de l’été pour parler des interactions de notre charmant roi avec les plantes. Ça fait un moment que je songe à vous partager le rôle de Clément II, la peluche jumelle de notre vieux chaton, dans nos voyages… Bref, été rime souvent avec abondance et c’est le cas avec mes souvenirs de Clément et mon envie de vous les raconter. J’énumère tout cela et je me dis que je n’aurais peut-être pas assez de l’été pour tout vous partager, pas avec mon rythme de publication actuelle de trois ou quatre publications par semaine (et je ne pense pas l’augmenter, j’aime cette cadence et je peux la suivre avec suffisamment de faciliter). Quoi que techniquement, l’été se poursuive jusqu’en mi-septembre, ce qui me laisse deux mois et demi quand même pour vous concocter pleins de tranches de Miaougraphie à saveur estivale.

En attendant, il fait très chaud ici. Nous n’avons pas l’air climatisé à la maison ; le thermostat a atteint 29 degrés Celsius aujourd’hui pour la première fois. -.- Je fonds… Clément ne doit pas s’ennuyer de ça, la chaleur. Il y a eu de nombreux moments dans les derniers mois où j’aurais souhaité que Clément soit présent. Néanmoins, il y a quelques moments où ça me dérange moins que bébé chat les manque, comme aujourd’hui. Il tolérait la chaleur, mais il devenait « mou comme de la guénille » quand ces températures se maintenaient pour plusieurs jours. Il dormait, buvait, dormait. Il tenait quand même à sortir dans la cour… toutefois, il demandait généralement à retourner à l’intérieur au bout de quelques minutes à peine et il ne redemandait pas de sortir avant quelques heures ces jours-là, surtout depuis que la cour est asphaltée. Notre cour est peu exposé au soleil, ce qui n’empêche pas l’asphalte d’emmagasiner beaucoup de chaleur durant les journées extrêmement chaudes. Au moins lui ne se gênait pas pour s’étendre sur le plancher en céramique de retour à l’intérieur pour récupérer toute la fraîcheur qui y restait presque tout l’été. Là-dessus, Clément devait parfois être plus confortable que nous. Sur ce, je vous laisse sur une image de Clément qui fait la farniente en été.