Catégorie : Deuil en cours
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Comment mon chat m’a appris à réduire l’incidence des petits accidents du quotidien

Aujourd’hui, j’aimerais poursuivre sur le sujet de la vigilance sur lequel j’ai conclu mon dernier texte en abordant une leçon apprise grâce à ce cher rouquin de chat et que j’essaie de continuer d’appliquer : ne pas laisser traîner, verre et tasse, assiette ou bol, hors de la cuisine!
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Accueillir un compagnon animal à nouveau : oui, non, peut-être un jour ?

Je ne me sens pas du tout prête à faire entrer un nouveau chat, ou même un autre animal, dans la maison. Même que je doute en accueillir un de nouveau un jour. Bien sûr, ça a le temps de changer ! Voici quelques-uns des raisons qui explique que je ne sois pas pressée.
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Les jeux sont faits et rien ne va plus

Quand le malheur s’abat, j’ai l’impression que la chance me fuit. Une réflexion qui est revenue me hanter durant une partie de dés récentes.
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La trappe du « Comment ça va? »

Cela fait un moment que je n’ai pas fait le point de comment je me sens en général. Alors, en bref, mes yeux sont la majeure partie du temps sec, bien qu’ils s’humectent encore à tous les jours quelques fois. Je retrouve de plus en plus le plaisir de faire des choses. Cependant, est-ce que…
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Retrouver le plaisir de cuisiner, une recette à la fois

Gâteaux, biscuits, brownies, tartes, caramel et autres bonbons, j’aime le sucré, autant pour y goûter que pour le transformer ! Pourtant, j’ai pris une longue pause suivant la mort de Clément, du moins, surtout pour ce qui est de confectionner desserts et friandises. J’essaie de m’y remettre, lentement, mais sûrement.
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Vivre les saisons avec et sans Clément

Je me suis proposée il y a un moment de créer une mini-série d’articles sur la thématique du passage des saisons dans la vie de mon éternel chaton. Je suis une personne « quatre-saisons » si on peut dire. Clément était aussi un chat « quatre-saisons », peut-être en partie dû à mon influence ou sans doute plus dû…
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Beau et insoutenable, l’euthanasie de notre cher Clément

Je commence l’exercice le plus ardu sans aucun doute de ce deuil : revenir sur les tout derniers moments avec notre bébé chat. Nous avons été privilégiés de pouvoir partager son heure finale et l’accompagner dans sa mort qui, j’ose espérer, fut douce.
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Comment devient-on Miaougraphe ?

Un mois a passé depuis que j’ai lancé ce petit havre de paix virtuel en mémoire de Clément. Pour souligner cet anniversaire, j’ai décidé de prendre le temps d’expliquer un peu l’origine de la Miaougraphie.
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Intervalle hors de la maison de la tristesse

Nous vivons actuellement dans la maison de la tristesse, parce que cette maison était et est toujours remplie de beaucoup d’amour. Je l’ai quitté pour une brève visite de quelques jours auprès de mes proches. Je suis en pleine traversée d’une immense étape de mon deuil.
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Pressentiment ou inquiétude matérialisée ?

Je me demande à quel point j’ai senti venir la fin de mon rouquin préféré sans reconnaître ce qui s’en venait ou sans vouloir le reconnaître. Depuis sa mort, s’amoncellent les observations, les questionnements et me reviennent les sentiments qui m’ont habité dans les mois précédents l’événement.
